Avant l’arrivée de l’eau courante dans les maisons, les techniques de captages s’adaptaient à la géologie du terrain, qui pouvait varier suivant les régions.
La plupart des galeries creusées dans les collines lyonnaises ont pour fonction d’amener les eaux d’infiltration à des puits, des fontaines ou encore des réservoirs.
1. Sources de versant :
Les eaux souterraines ressortent à la surface en plusieurs points.
2. Captage par galerie :
Les eaux souterraines sont collectées puis canalisées par une galerie. Ceci permet d’avoir un débit plus intéressant.
3. Puits :
Le puits permet de capter les eaux des nappes souterraines, lorsque la géologie ne permet pas à l’eau de sortir à la surface naturellement, ou bien encore de collecter les eaux d’infiltration le long de la parois du puits. Il permet de plus de constituer des réserves d’eau.
4. Puits équipé de deux niveaux de galeries :
Dans certains cas la combinaison de plusieurs techniques permet d’augmenter le volume d’eau.
5. Puits-sources :
Ce type de puits est construit au fond des galeries de captage. A Braizieux (Collonges aux Mt d’Or), ils ne remontent pas à la surface. L’eau suinte sur les parois et coule dans un bassin qui déborde dans la rigole d’évacuation.