Dans son édition du 20 octobre, le Progrès confrontait de manière équitable les différents points de vue des forces en puissance dans le dossier des « arêtes de poisson » et plus généralement des souterrains lyonnais :
- les cataphiles et autres passionés dans lequels nous nous retrouvons, qui défendent un patrimoine auquel ils sont attachés et qu’ils veulent faire découvrir au plus grand nombre
- de l’autre coté, les autorités, qui avancent notamment des arguments de sécurité, et qui rappellent que ce patrimoine est, dans la mesure du possible, préservé de la destruction.
A lire : extrait de l’édition du 20/10/2007 du Progrès de Lyon